LAST OF THE ELEPHANT MEN

FESTIVALS & RÉCOMPENSES
🏆 PRIX GÉMEAUX : Nominé meilleur montage documentaire, gagnant meilleur documentaire
🏆 PRIX ÉCRANS CANADIENS : Nominé meilleur montage, meilleur film, gagnant meilleure image
🏆 CINEMA FOR PEACE AWARDS : Green Oscar
🏆 Festival du Documentaire social sur l’Asie de New Delhi : Prix du meilleur montage et meilleur film
🏆 Festival International du Film Environnemental de Barcelone : Prix du meilleur documentaire
🌿 Hot Docs, Toronto
🌿 One World Film Festival, Prague


Synopsis
Filmé sur plusieurs années à travers les lieux mystiques d’un Cambodge reculé, en passant par les temples emblématiques d’Angkor Wat et la bouillonnante capitale Phnom Penh, Les Derniers hommes éléphants raconte l’histoire d’un peuple indigène uni par le destin aux éléphants, alors que leur mode de vie commun est menacé de disparition.

En suivant sur la durée trois membres de la mythique ethnie bunong, près de la frontière Cambodge-Vietnam, Les Derniers hommes éléphants raconte leur combat pour sauver l’animal. Chacun d’eux incarne une dimension de l’émouvant rapport entre humain et éléphant : Mrey, le légendaire trappeur d’éléphants, poursuivi par des cauchemars et par une mystérieuse maladie, doit apaiser l’esprit de l’éléphant avant son dernier voyage; Mané, jeune avocate des droits de la personne, veut retrouver la trace de l’éléphant qui a appartenu autrefois à sa famille, tout en défendant les droits ancestraux de son peuple; et l’adolescent Duol apprend à être cornac – maître d’éléphants – pour faire vivre ses parents et perpétuer la culture de ses ancêtres.

L’éléphant qui, un jour, a servi à définir l'identité des Bunong pourrait bien représenter la clé de leur propre survie. Comment protège-t-on la nature? Comment préserve-t-on l’héritage collectif? Quand bio-diversité et diversité culturelle sont interconnectées, quels choix faire pour survivre à la modernité? Sur fond de déforestation et de dégradation environnementale au Cambodge, l’histoire d’un peuple confronté à des enjeux universels.


“Au gré d’un rythme lent et d’un montage fluide, lesquels évoquent la démarche des éléphants et le temps suspen- du de ce coin du monde, ce documentaire aux accents poétiques adopte par endroits les allures d’un film de fiction contemplatif relatant un récit intemporel s’inspirant de légendes anciennes.” LE DEVOIR